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1 novembre 2008 6 01 /11 /novembre /2008 14:26

Thémis, ma compagne, ma complice pendant presque 13 ans est partie hier rejoindre les énergies d'Amour et de Vie, qui nous entourent.
S'il est vrai que je ne veux pas faire de cet espace mon journal intime, je souhaite néanmoins qu'on y parle la vie ; et la mort en fait partie...
Le temps du deuil n'est pas que le temps de la tristesse et du chagrin, il est aussi celui du souvenir des joies partagées.


Merci à toi ma fidèle compagne pour tous ces moments de bonheur et d'amour partagés...

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26 octobre 2008 7 26 /10 /octobre /2008 11:08
"Le bonheur vient de l'attention aux petites choses,
le malheur de l'oubli des petites choses."
(proverbe boudhiste)
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10 octobre 2008 5 10 /10 /octobre /2008 21:41
                                        

Lorsqu’on est enfant, on ne peut pas se voir soi-même, si ce n’est dans un miroir ou dans le regard de ceux qui nous entourent. On ne sait pas définir qui on est mais nos parents se chargent de le faire. Nos parents, nos frères et sœurs, notre famille, nos professeurs, la TV, la religion, la société projettent une image sur nous ; et tous disent qui ils croient que nous sommes.

Ma mère dit que je suis comme ceci, mon père comme cela, ma sœur encore autrement, mon professeur ainsi … ; chacun projette une image parfois complètement différente sur nous, mais aucune d’elles n’est exacte puisque partielle, sélective, décontextualisée, subjective…

Ceci dit, faute de pouvoir se voir soi même, on croit ce que disent les autres et notamment les personnes les plus proches et en qui on a le plus confiance. Et l’on accorde à ces paroles une valeur telle que leurs images se programment dans notre mémoire et l’on finit par croire qu’on est cela.

 On s’efforce ensuite de rester fidèle à cette image ou à l’inverse on cherche à incarner l’opposé pour s’en débarrasser, pour faire changer ce portrait qui ne nous plait pas. Quoiqu’il en soit, dans l’adhésion ou le rejet, c’est toujours en référence à cette (ces) image(s), que nous agissons, nous efforçant de stabiliser et maîtriser ses traits.

Et l’on va même jusqu’à chercher chez l’autre les signes qui confirment cette ressemblance, qui soutiennent nos croyances. On cherche l’approbation des autres un peu comme si on leur demandait « et maintenant cette image là ça va ? »

Ainsi se construit un idéal de perfection fait de croyances sur ce qu’il faut faire ou pas, être ou non, penser ou pas, ressentir ou non, avoir ou pas…, ce qui est bien ou mal…

De plus, ces images s’inscrivent d’autant plus profondément qu’elles conditionnent l’amour que l’on nous donne ; c’est si et seulement si, l’on est suffisamment conforme à l’image à laquelle l’autre voudrait que l’on ressemble qu’il nous accepte et dit nous aimer.

Et c’est ainsi que se forgent des relations faussées. Faussées parce que toujours gouvernées par le besoin de « redorer son blason ». Et l’on s’oblige à porter un masque, à cacher derrière ce masque tout ce que l’autre n’aime pas voir ou désapprouve. Pour ce faire on a dû très tôt et l’on continue sans cesse à évaluer, juger si telle ou telle attitude correspond ou non à ce que l’on a enregistré comme étant cet idéal, de même que l’on a appris à dissimuler, à (se) mentir. Et au non de cette volonté de conformité, on peut même en arriver à rejeter l'autre (ou soi même).

Juger : c’est ce qui nous permet de vérifier si l’attitude est bien conforme. Et quasi chacune de nos attitudes ainsi que celles des autres passe au crible de ce juge intérieur (plus ou moins impitoyable).

Certains diront : « je ne juge pas, moi ». Cependant chaque fois que je me dévalorise ou me fais un reproche, je me juge ; chaque fois que je me compare à d’autres, je juge ; chaque fois que je critique les autres ou leur fais des reproches, je juge ; chaque fois que j’insiste sur ce que je fais en me valorisant, je juge ; chaque fois que je dis c’est bien ou c’est mal, je juge... De ce fait, on finit par vivre dans une sorte de tension. Tension pour ne pas laisser échapper l’attitude qui nous trahira (quitte à trahir l’autre), le geste, la parole, la pensée qui n’est pas en accord avec l’image correcte. On finira par craindre le regard de l’autre, miroir qui pourrait refléter l’image tant redoutée de la non-conformité ; redoutée puisqu’elle signe notre « arrêt d’amour ».

Mais ces images ne sont que des croyances erronées, des concepts : elles ne sont pas nous. Et à chaque fois que l’on s’efforce de correspondre à ces croyances on crée en soi un mal-être, un tiraillement entre l’être et le paraitre.

Est-il plus facile de vivre libre que prisonnier du miroir ?

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7 octobre 2008 2 07 /10 /octobre /2008 12:06



Tout d’abord, pour qu’un être soit vivant, il faut une énergie qui anime son corps. Cette énergie se répartit dans les différentes parties de l’organisme pour, en quelque sorte, l’ «alimenter» et en permettre le fonctionnement.

Cette répartition, lorsque tout va bien, est équilibrée.

Lorsque quelque chose ne va pas, ne tourne pas rond dira-t-on,  l’énergie est monopolisée à l’endroit où se situe le problème afin de donner à l’organisme la force nécessaire pour faire face.

Par exemple, si je me blesse à la main, l’activité au niveau de la blessure devient très vite plus  importante (coagulation sanguine, multiplication des globules blancs pour limiter la progression et éliminer les bactéries, régénération cellulaire, cicatrisation…), autant d’activités qui requièrent de l’énergie (on peut d’ailleurs souvent noter une sensation de chaleur plus importante à l’endroit de la blessure indiquant la présence d’une plus grande quantité d’énergie).

Cette énergie monopolisée à cet endroit n’est évidemment plus disponible dans les autres parties du corps, qui pour un temps, doivent fonctionner avec une quantité énergétique moins  élevée. S’il s’agit d’un incident mineur, le corps est conçu pour compenser  ces petits déséquilibres momentanés sans répercussion gênante.

En revanche si le déséquilibre s’inscrit dans le temps, les conséquences peuvent devenir plus fâcheuses et multiples.

Ceci parait évident si l’on reste sur l’exemple de blessures physiques (qu’elles soient causées par un accident, une intervention, une maladie…). Sous l’angle de l’énergie, on comprend aisément qu’un accident ayant occasionné des blessures graves ou multiples pourront considérablement affaiblir une personne et la rendre plus fragile, dans la mesure où l’énergie détournée au profit des zones blessées, ne sera pas disponible pour les autres fonctions (y compris le système de défense immunitaire).

Ceci dit, les blessures physiques ne sont pas les seules à accaparer l’énergie.

Imaginez une personne qui vive un choc émotionnel (un deuil, une séparation, des violences verbales…). Ce sont les sphères émotionnelle et mentale qui vont s’activer et donc être en demande d’énergie.

Cette énergie devrait venir alimenter le mental pour qu’il évalue la situation et y réponde de manière logique afin de ramener le calme à bord.

Hélas,  ça se passe rarement comme ça.

Notre  émotionnel, généralement bien mis à l’épreuve par la vie moderne, démarre au quart de tour et lors d’un choc,  prend (enfin) la place qu’on lui refuse trop souvent, tant et si bien qu’il « brouille les cartes », empiète sur le mental qui aura alors tendance à ressasser, s’enfermer dans des pensées négatives  (rejouer la scène douloureuse, refaire le scenario, imaginer le pire…).

Dans de nombreux cas, on verra  «s’emballer la machine » ;  des pensées négatives engendreront des  émotions pénibles qui entretiendront un flot d’idées noires... Un peu comme si le mental rouvrait sans cesse la plaie de l’émotionnel.

De ce fait, une blessure psychique (interne) peut « s’envenimer » et monopoliser de plus en plus d’énergie de manière inefficace et prolongée si l’on n’y prend pas garde. Cette énergie ainsi mise à disposition du mental et de l’émotionnel finit par faire défaut au niveau des autres fonctions (y compris du système immunitaire) qui devront agir (tant bien que mal) avec une quantité parfois fort réduite d’énergie.

Ainsi, une personne souvent stressée –dont l’énergie servira beaucoup le mental et l’émotionnel- privera, par exemple, son système digestif d’une partie de l’énergie qui lui est normalement réservée, et apparaitront les troubles digestifs  et du transit plus ou moins importants (digestions lentes, ballonnements, acidités gastriques, ulcères, colopathies…). Hélas, les exemples sont nombreux.

Autre exemple. Imaginons quelqu’un qui vit une situation déplaisante qui suscite en lui des sentiments d’insatisfaction, de déception, de révolte. Cet état de révolte psychique est traduit au niveau physique comme une menace. Le corps va répondre avec ses «armes» à cette menace. Il va se préparer à la riposte ou à la fuite et mettra donc en œuvre les dispositifs soit pour passer à l’attaque (production d’adrénaline, accélération cardiaque, tension des muscles du haut du corps…) soit pour fuir (rythme cardiaque, tension des muscles du bas du corps…). Si cette préparation corporelle reste sans suite, c'est-à-dire s’il n’y a pas passage à l’action mais plutôt «rumination mentale» qui entretient l’état de tension, d’une part il y aura un blocage d’énergie dans ces zones (au détriment des autres) et d’autre part ces tensions inutilisées finiront par créer des dysfonctionnements donc des douleurs (telles des courbatures après un effort physique) localisées (dos, épaules…et/ou problèmes cardio-vasculaires). Cette tension musculaire induite par l’émotionnel (l’humeur ou le stress a-t-on coutume de dire) peut même être si continue qu’elle finit par épuiser (le corps et l’esprit car une tension corporelle signale à l’esprit un état d’alerte : c’est le cercle vicieux), fragiliser (adaptation difficile à l’effort, aux différences climatiques avec risques accrus de chutes, torsions, inflammations…), désorganiser (déplacements osseux, hernies…).

Bref, on ne peut pas se sentir bien si l’énergie est trop longtemps bloquée à un endroit car c’est tout l’organisme qui en est désorganisé et doit compenser. C’est pourquoi les techniques de soins énergétiques (telles que l’acupuncture, le Reiki, le shia-tsu, les arts martiaux aussi,…) fort répandues et depuis longtemps dans les pays orientaux, visent à rétablir une répartition équilibrée de l’énergie, afin de lui permettre la libre circulation dans tout le corps pour exercer son «travail».

Voilà pourquoi après une de ces séances, on se sent mieux, encore faut-il que notre mental ne ressème pas trop vite la pagaille dans ce «bon ordre» retrouvé…

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1 octobre 2008 3 01 /10 /octobre /2008 11:18

         
glitter-graphics.com
      
  Rappelle toi 
    qu'au delà des nuages, 
  le soleil brille toujours
    du même éclat...

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30 septembre 2008 2 30 /09 /septembre /2008 22:45

Je suis psychologue de formation ; et non,  je ne suis pas née comme ça, en fait, ça s’attrape. Et d’ailleurs le virus je l’ai davantage attrapé derrière un comptoir (de magasin) – petits boulots obligent - plutôt que sur les bancs de la faculté ! Les clients, sous prétexte de m’acheter une babiole, venaient me raconter leur vie.

Donc de petits boulots en diplômes universitaires, de psychothérapeutes en écoles de psychothérapies,  me voilà assise, les bras croisés devant la détresse des autres.

J’ai très vite senti la position fort incongrue voire indécente ; non pas d’être face à leur douleur mais de rester les bras croisés…

C’est là que la vie mit sur mon chemin,  en même temps  que des  épreuves, des personnes qui m’ont prise « par les mains », m’ont apaisée, appris à me soulager et à soulager les autres  par le biais de l’Energie, en utilisant leurs mains. J’ai appris à découvrir (et je continue à le découvrir, parfois avec émerveillement) le Reiki et ses bienfaits.

Curieuse méthode aux yeux de quelqu’un –en l’occurrence moi-  qui a reçu une formation scientifique, même si la psychologie est bien souvent la « parente pauvre » des sciences.

Je fus, au premier abord, plus que sceptique ; une personne qui  poserait les mains sur moi, prétendrait  m’aider en ré-harmonisant la circulation de l’énergie dans mon organisme ! Avouez qu’il est permis de douter…

 Mais force est de reconnaître que je me sentais vraiment mieux après chaque séance, même si alors, je ne comprenais pas encore de quoi il s’agissait.

J’ai donc voulu en savoir plus. J’ai appris, j’ai cherché et puisque les gens viennent à moi pour déposer leurs peines entre mes mains, j’ai décidé de les utiliser au mieux…

 

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21 septembre 2008 7 21 /09 /septembre /2008 20:41

 

 

L’énergie est un concept qu’il nous est parfois difficile de concevoir, tant elle nous semble invisible, impalpable, insaisissable...Et pourtant, s’il est vrai que le vent ne peut se voir directement on peut cependant en voir ses effets ; il en va de même pour l’énergie. Lorsqu’on parle d’énergie on  peut penser à celle qui alimente tous les appareils, toutes les machines qui nous entourent ; il s’agit bien là d’une force (celle du vent, de l’eau, du feu...) présente dans la nature et que l’Homme a apprivoisé, c’est-à-dire capté, maîtrisé, modifié, canalisé pour venir jusque dans nos maisons ... C’est le même principe pour l’énergie Reiki ; il s’agit de capter une énergie présente autour de nous, de la canaliser afin de l’amener jusqu'à l’organisme qui en a besoin pour fonctionner.

 

Il existe dans la tradition orientale une classification des énergies de vie. En langue japonaise, le « ki » est considéré comme le terme général utilisé pour toutes les énergies de vie. Le Ki circule dans le corps humain. On distingue jusqu’alors 7 formes (de fréquences) différentes d’énergie ; la plus organisée et organisante (en quelque sorte « programmée en vue du bien-être ») étant le reiki. D’ailleurs le sens du mot est Rei qui signifie esprit, intelligence, càd, qui dirige, donne forme et Ki, énergie.

 

Si l’énergie est monopolisée par une fonction, (par ex, par des flots de pensées, des tensions, une douleur...) cette énergie n’est ensuite plus disponible pour assumer les autres fonctions et à plus ou moins long terme ces déséquilibres entraînent des symptômes physiques et/ou psychiques. L’énergie mal dirigée, déséquilibrée produit les symptômes de la maladie c’est donc en rééquilibrant l’énergie, en stimulant sa circulation harmonieuse dans l’organisme que pourra se rétablir l’équilibre naturel, en d’autres termes la santé ;  ce à quoi vise le soin Reiki.

 

L’initiation au Reiki (accessible à tous), consiste essentiellement à l’ouverture des canaux d’énergie (pratiquée par un maître reiki) permettant aux initiés de devenir « antenne » pouvant capter, canaliser et rediffuser cette forme d’énergie. Ainsi chaque initié peut agir sur la circulation d’énergie dans son propre corps aussi bien que dans celui d’autrui...

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18 septembre 2008 4 18 /09 /septembre /2008 15:48

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18 septembre 2008 4 18 /09 /septembre /2008 15:08

Le Reiki nous vient des médecines traditionnelles japonaises.

C’est une technique de soins et un outil de développement basé sur la canalisation et l’harmonisation de la circulation de l’énergie.

Le soin de Reiki apporte une grande sensation de bien-être, de détente, de sérénité et vise à soulager les maux du corps autant que ceux de l’esprit.

Le Reiki renforce et accélère les capacités  naturelles de défense de l’organisme en stimulant le système immunitaire.

 

Pratiquer le Reiki :

 

La pratique du Reiki est accessible à tous.

 

La formation comporte :

 

*        un apprentissage théorique de la méthode

*        un apprentissage pratique de la technique

*        et des initiations (pratiquées exclusivement par un maître Reiki qui procèdera à la mise en oeuvre du canal énergétique) qui seules permettront à la personne de pratiquer le Reiki,c’est-à-dire de pouvoir canaliser et retransmettre l’énergie Reiki pour soi- même et les autres.

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  • : Partager : c’est ce que je souhaite faire en créant cet espace, un peu comme on ouvrirait une fenêtre sur un jardin pour prodiguer sa lumière, ses couleurs, ses mélodies et ses senteurs… Mon jardin se veut parcouru de chemins vers le bien-être, l’harmonie, la conscience, la réflexion, la connaissance de soi, l’évolution…chemins balisés par la psychologie, la psychanalyse, les soins naturels, la relaxation, l’énergie…
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